Bastian Karim découvert – Le bonus – Alexandro Cabrera et Bastian Karim

25:18 941 il y a 1 jour
En entrant dans le bureau de M. Cabrera, opérateur exécutif de l'entreprise, nous nous sommes brièvement salués. Nous nous sommes ensuite assis l'un en face de l'autre à son bureau et avons entamé les négociations convenues. Le contrat était simple : se rendre dans les locaux choisis par M. Cabrera et satisfaire pleinement ses besoins. M. Cabrera jouit d'une excellente réputation en ville ; je l'ai immédiatement reconnu. De plus, j'étais au courant d'au moins une de ses négociations financières douteuses – et illégales – qu'il avait récemment conclues pour son entreprise. Je le savais car j'étais techniquement impliqué dans ces négociations. Une fois le contrat nouvellement signé, je devais me présenter immédiatement au bureau de M. Cabrera pour lui remettre ce qui avait été promis : mon corps et ma soumission. Puis, il était temps pour Cabrera de réclamer sa récompense. Il tapota son stylo sur le bureau et plaça sa main près de son entrejambe, effleurant légèrement la bosse qui gonflait rapidement dans son pantalon. Les yeux de Cabrera étaient rivés sur moi avec une obscénité narquoise tandis qu'il examinait ouvertement mon corps. Je gardai mon sang-froid et soutins son regard affamé – un sourire presque imperceptible sur mon visage. Bientôt, Cabrera se tripota. Sa verge était longue, épaisse et gonflée, pressée contre son pantalon. Cabrera se renversa dans son siège et gémit de manière obscène. Il se lécha les lèvres et m'appela silencieusement à lui d'un regard perçant. Au moment où je libérai la bite colossale et douloureuse de Cabrera, je l'avalai. J'eus juste un léger haut-le-cœur, ce qui sembla déclencher chez lui le besoin de m'attraper par les cheveux et de me baiser la gueule. Je peux encaisser une énorme bite, sans problème. C'est en partie ce qui rend une négociation commerciale avec moi si coûteuse. Ça ne gâche rien que j'aime personnellement la façon dont un DILF comme Cabrera prend le contrôle d'un subordonné, qu'il soit sexuel ou non. Une fois que Cabrera eut constaté la satisfaction que mes services pouvaient lui procurer, la langue du patron, de plus en plus surexcité et affamé, se dirigea droit vers mon anus. Nous gémissions tous les deux en même temps lorsqu'il passa sa langue encore et encore le long de mon orifice tendre. Accroupi contre le bureau, Cabrera lissa silencieusement sa bite dure comme du roc et pressa le gland bulbeux contre mon anus. Puis il s'enfonça à l'intérieur. Essayant d'enfoncer ce membre géant jusqu'au fond…

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