Je renifle un pervers comme moi - Uriel Simon, Dimitry Simonit
Le plus beau dans le fait d’avoir des locataires ? Leurs sous-vêtements. Quand j’ai commencé à travailler dans cet hôtel, je pensais que j’allais détester ça, mais j’ai ensuite découvert le plaisir de trouver les sous-vêtements de mon locataire dans la buanderie. La première fois que j’ai senti un boxer usagé, quelque chose a changé en moi ; cette odeur m’a excité plus que tout au monde, alors j’ai continué. Cette fois, je me suis fait prendre. Dimitri, mon associé, m’a vu renifler les sous-vêtements du nouveau locataire, mais au lieu de me juger, il l’a fait aussi, en reniflant longuement et profondément. Je jure que c’est la chose la plus chaude que j’aie jamais vue. Il m’a fait sentir à nouveau le boxer en me poussant contre le mur et en enlevant mon pantalon. Alors que je tenais le slip et qu’il me suçait la bite, j’ai réalisé que j’avais trouvé un autre pervers comme moi et que j’adorais ça.
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