Jeune escort soumis – Anthony Divino, Mark Winters

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Je ne pourrais pas être plus fier de mon. Il est si magnifiquement pris pour ma propriété. Même quand je passe devant sa cage, vaquant à mes propres affaires indépendamment de lui, il me regarde avec ces yeux profonds et pleins d'âme, m'aimant, m'adorant et attendant patiemment que son heure soit utile. Certains pourraient trouver étrange de le garder enfermé, mais c’est pour son bien. Cela lui permet de se souvenir de ce qu’il est pour moi - non plus quelqu'un que j’ai vu grandir et mûrir, mais plutôt mon esclave à utiliser à ma guise. De plus, de sa bite dure et dégoulinante, il semble que l'anticipation et le confinement l'excitent vraiment. Autant que cela me donne envie de le voir dans sa petite cage, ma propre bite finit par devenir trop difficile pour se concentrer sur autre chose. C’est à ces moments-là qu’il est à la fois la cause et le remède de ce qui me distrait. Le sortir, il sait que c’est autant un devoir qu’un privilège. Il rampe à quatre pattes comme un chiot obéissant, me rencontrant entre mes jambes sur le bord du lit comme s'il attendait une friandise. Je lui donne mes vêtements pendant que je me déshabille, le regardant alors que ses yeux sont fixés sur moi. Je sais qu'il veut regarder mon entrejambe, voir ma bite remonter le tissu sombre de mon pantalon, mais je lui ai dit qu'il devait toujours me regarder dans les yeux. Du moins, jusqu'à ce que je lui dise le contraire. Dès que j'ai mon pantalon ouvert et mes sous-vêtements exposés, je baisse la tête pour me rapprocher de mon excitation. Ses narines s'embrasent alors qu'elles reniflent profondément mon musc, laissant mes phéromones remplir sa tête. Je peux voir ses yeux rouler à l'arrière de sa tête pendant une seconde, se livrant au parfum familier de ma virilité. Il est dans . Un paradis personnel. Tout ce qu’il a toujours voulu, c’était être entre mes jambes. Maintenant, en tant que ma propriété, il n'a pas d'autre endroit où être. Je me lève pour lui donner un meilleur aperçu. Ma bite pend entre mes cuisses, dissimulée par mes sous-vêtements mais néanmoins massive. Son souffle et ses lèvres le caressent à travers le coton doux, le rendant pratiquement impossible à contenir. Je peux le voir trembler, avoir mal à le voir. Être si proche et pourtant si loin est la vraie prison pour lui. Il ne veut rien de plus que d'être chair à chair avec moi. Et plus je me retiens, plus il devient désespéré. Il n’y a rien de tel que de me voir en chaleur, mendier ma bite, avoir mal à ce que son but soit accompli. Avant de le relâcher (et ma bite), je le mets sur le dos, soulevant ses jambes vers sa tête pour regarder son trou parfait. Mon Dieu, c'est si doux. Doux, lisse et parfaitement juteux. Ma langue glisse facilement dans sa fissure, parfaitement présentée dans le jockstrap noir qu'il porte comme son uniforme. A chaque tour de langue, je peux sentir la chaleur de son corps et son envie de se faire baiser. Il laisse échapper des gémissements doux et respirants, comme si ma langue me rappelait à chaque fois la sensation d'être prise. Je pourrais l'emmener tout de suite. Glisse juste mes sous-vêtements et plonge mon épée épaisse en lui. Mais il a besoin de plus qu'une simple baise rapide. Il a mérité ça. Autant que je sache qu’il est mon esclave et ma propriété, il est toujours mon dévoué. Je retire mes sous-vêtements, lui donnant une vue de ma bite pour la première fois depuis un moment. Ses yeux s'écarquillent, admirant avec adoration la vue de chaque pouce palpitant. Il m'a rendu particulièrement dur aujourd'hui. Comme un bon garçon devrait. Et il a maintenant la récompense de pouvoir adorer ce qu'il aime le plus. Il attend patiemment que je lui dise de le sucer. Son eau à la bouche et son cou tremble de retenue. Si belle. Vaut chaque centime. Je lui donne le mot et sa bouche enveloppe tout mon sexe en un instant. C’est une vague de plaisir chaud et humide qui fait sauter mes noix. Il laisse échapper une expiration alors qu'il tient ma bite dans sa bouche, laissant le goût de celui-ci infuser sa salive et courir jusqu'au fond de sa gorge. Il ne peut pas en avoir assez du goût. Un si bon garçon.